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Communiqué ( http://www.fsss.qc.ca/ )

Déçue d’une mise à jour économique qui fait fausse route, la Coalition Main rouge, qui regroupe des organisations sociales, communautaires, syndicales et féministes, lance aujourd’hui une pétition exigeant du gouvernement qu’il mette en œuvre, dès le prochain budget, des solutions fiscales qui lui permettront de financer le nécessaire renforcement du filet social québécois.

La pétition peut être signée sur le site de l’Assemblée nationale ou à partir du lien suivant : filetsocial.com

En tenant mordicus à viser un retour à l’équilibre budgétaire en 5 ans, sans remettre en question les versements au Fonds des Générations et sans vouloir augmenter la contribution fiscale des plus riches et des grandes entreprises, le ministre des Finances Éric Girard laisse planer un retour à l’austérité que craignent les organisations sociales. Selon la Coalition Main rouge, la crise sanitaire liée au coronavirus montre pourtant, de façon macabre, les conséquences des politiques néolibérales qui ont affaibli les services publics et les programmes sociaux sur la population. Selon les organisations sociales, le système de santé et les services sociaux sont à bout de souffle, étouffés par des années de compressions. Les réseaux de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, mais aussi des services à la petite enfance, doivent également remplir leur mission, mais avec de moins en moins de ressources pour y arriver.

« Les programmes sociaux ont eux aussi été sous-financés, ce qui a contribué à maintenir des centaines de milliers de personnes dans la pauvreté et à aggraver la crise du logement. La pandémie affecte plus durement les populations les plus défavorisées, elle révèle sans ambiguïté les conséquences désastreuses des inégalités sociales et économiques » déplore Jeff Begley, président de la FSSS-CSN, un des groupes membres de la Coalition.

Pendant ce temps, les groupes d’action communautaires autonomes dont la population s’est dotée pour défendre ses droits et améliorer ses conditions de vie manquent de moyens pour réaliser leur mission.

« Déjà à bout de souffle après avoir essuyé les impacts des années d’austérité, les organismes communautaires se sont relevé les manches pour faire face à la pandémie. Mais pour combien de temps arriveront-ils à garder le cap si des investissements majeurs se sont pas au rendez-vous rapidement ? », s’inquiète Tristan Ouimet-Savard, du Réseau québécois de l’action communautaire autonome, également membre de la Coalition.

Après deux années de surplus, pendant lesquelles il n’a pas réinvestit suffisamment, la Coalition Main rouge doute que la façon dont le ministre des Finances prépare déjà le retour à l’équilibre budgétaire soit la meilleure, alors qu’il dit ne pas vouloir toucher aux impôts. Selon les groupes sociaux, cela se traduira inévitablement par de nouvelles compressions et des hausses de tarifs.  La Coalition, qui a déjà élaboré un plan qui rapporteraient à terme 10 milliards $  annuellement, presse du Québec d’adopter une fiscalité plus progressive pour se donner les moyens de lutter contre les inégalités socio-économiques avec ambition et mettre en œuvre une relance porteuse de plus de justice sociale.

« Pour être juste, cette relance post-pandémie doit passer par des investissements pour améliorer l’éducation, les services de garde éducatifs, les soins de santé et les services sociaux, ou les services aux jeunes ayant des besoins particuliers, aux personnes en situation de handicap, ou encore pour améliorer l’accès à la justice, réaliser un vrai chantier de logements sociaux, permettre aux personnes aînées de vivre dans la dignité, adopter des mesures ambitieuses de lutte contre la pauvreté et l’itinérance et une meilleure protection de la faune et de l’environnement » énumère Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU, au nom de la Coalition .

Selon la Coalition, la CAQ fait fausse route en priorisant les investissements à visée strictement économiques, Investir pour réduire les inégalités sociales aura, selon elles, des retombées économiques locales durables qui bénéficieront à la majorité de la population.

Pour les groupes sociaux, le prochain budget du Québec déterminera en grande partie notre capacité collective à traverser cette crise, et à mieux traverser celles qui pourraient survenir.

« La population du Québec a suffisamment souffert du désinvestissement dans les services publics et les programmes sociaux. Il est grand temps de s’engager réellement dans le renforcement de notre filet social en finançant adéquatement services publics, programmes sociaux et action communautaire autonome » rappelle Benoit Lacoursière, secrétaire général de la FNEEQ-CSN, également porte-parole de la Coalition.

Communiqués Événements et actions

Montréal, le mardi 10 novembre 2020 − C’est avec une grande fierté que le Front commun pour la transition énergétique lance aujourd’hui la version 2.0 de sa Feuille de route pour la transition du Québec vers la carboneutralité. Le Front commun pour la transition énergétique regroupe près de 90 organismes citoyens, environnementaux, syndicaux, communautaires et étudiants représentant plus de 1,8 million de personnes, soit plus de 2 Québécois.es sur 10 et près de la moitié de la population active du Québec. 

Une « contribution incontournable » de la société civile  

L’ouvrage de 124 pages publié aujourd’hui se présente comme une « contribution incontournable » de la société civile à la réflexion sur la prise en charge collective de la crise climatique. Combinant les critères du Front commun pour une transition énergétique porteuse de justice sociale et les connaissances les plus à jour sur le climat et la transition, il propose une approche cohérente et transformationnelle ainsi qu’une responsabilisation des acteurs à toutes les échelles − gouvernementale, organisationnelle et citoyenne. Résultant des travaux de plus de 190 personnes appartenant à 85 organisations différentes et à une vingtaine de départements, chaires de recherches ou facultés d’une douzaine d’universités, il a aussi accueilli des perspectives autochtones.  

Phase 1 du projet Québec ZéN 

La coconstruction de la Feuille de route, à partir d’un document de travail publié en septembre 2019 (la version 1.0), est la première étape d’un important projet de dialogue social intitulé « Québec ZéN » (zéro émission nette). Les consensus que l’exercice a permis d’établir serviront d’ancrage à la phase 2, « Collectivités ZéN », qui vise à encourager une multiplication des démarches de transition juste vers la carboneutralité dans les diverses régions du Québec. Au cours des prochains mois, le Front commun pour la transition énergétique accompagnera plusieurs organismes qui souhaitent rallier les acteurs-clés de tous les secteurs présents dans leurs milieux respectifs autour d’un projet de Collectivité ZéN. 

Citations :  

« Nous, les jeunes, serons frappés de plein fouet par la crise climatique et jusqu’à maintenant, on ne nous a proposé que des mesures à la pièce, contradictoires, sans stratégie globale assez radicale pour nous éviter le pire. Nous avons le droit de rêver mieux et cette Feuille de route nous en donne l’occasion. Réapproprions-nous l’espoir d’un futur viable. » 

Rosalie Thibault, Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES)

« Face à l’urgence climatique, ce sont les virages que nous prenons aujourd’hui qui feront la différence. Tout va se jouer dans la décennie 2020 et il faut impérativement atteindre la carboneutralité le plus tôt possible. La Feuille de route est une contribution incontournable de la société civile en ce sens. » 

Jean-François Boisvert, Coalition climat Montréal 

« Les travailleuses et les travailleurs des services publics mettent l’épaule à la roue depuis longtemps déjà pour construire un monde plus écologique, solidaire, pacifique et démocratique. Nous sommes à la croisée des chemins. La Feuille de route vers la carboneutralité du Québec arrive donc à un moment crucial pour guider nos actions en matière de transition juste afin d’en décupler l’impact positif pour l’environnement et la société. »  

Anne Dionne, Centrale des syndicats du Québec (CSQ) 

« Avec cette vision collective et ces critères clairs, nous sommes bien outillés pour identifier des actions structurantes qui ne laissent personne derrière et qui construisent un monde plus juste. Nous devons faire preuve d’audace et d’ambition afin de laisser aux générations futures un monde viable. » 

Valérie Lépine, Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec  (MÉPACQ) 

« Bien qu’il reste du travail à faire avec des secteurs et communautés insuffisamment  entendues lors des processus menés, la richesse des perspectives croisées dans ce document est exceptionnelle. »  

Maude Prud’homme, Réseau québécois des groupes écologistes 

Consulter la Feuille de route 

Pour contribuer au projet Québec ZéN, vous pouvez faire un don ici

Si vous voulez vous tenir au courant des suites de ce projet, inscrivez-vous sur notre liste d’envoi ici.  

Changements climatiques Communiqués Non classé

Gov. Gen. Julie Payette and Prime Minister Justin Trudeau wait during the throne speech in the Senate chamber in Ottawa on Wednesday, Sept. 23, 2020. THE CANADIAN PRESS/Adrian Wyld

Communiqué de presse

Montréal, le 23 septembre – Le Discours du Trône du gouvernement canadien annonce de généreuses interventions contre la pandémie qui constitue sa priorité, le déploiement de nouveaux programmes en santé tout en réaffirmant la cible nationale de réduction des gaz à effet de serre en 2050. «Nous espérons que le gouvernement saura lier ce magnifique discours sur papier et des engagements financiers à la hauteur des promesses, lors des prochains crédits budgétaires», relativise le coordonnateur de la Coalition solidarité santé, Benoit Racette. 

Le projet d’assurance-médicaments toujours sur les rails 

C’est avec soulagement que nous prenons acte du fait que le gouvernement continue de croire en la pertinence d’un régime national d’assurance médicaments et veut “accélérer les étapes pour le mettre en place”. Nous offrons notre entière collaboration à cet effet. Un tel régime représente un investissement pour la population, une façon de contrôler les coûts et d’assurer un approvisionnement constant en médicaments, indépendamment de leur situation d’emploi. Rappelons que près de 10 % de la population québécoise n’a pas les moyens de payer ses médicaments et que c’est le double dans le reste du Canada … «Le régime permettra de renforcer la stratégie globale pour assurer un approvisionnement sécuritaire en contexte de pandémie, sans se mettre en position de dépendance vis-à-vis certaines compagnies pharmaceutiques, et sans mettre en péril les autres services essentiels de santé», soutient Elisabeth Gibeau, analyste pour Union des consommateurs. Alors que notre régime québécois ne cesse de démontrer son inefficacité, avec des régimes privés qui ont des coûts d’environ 30 % plus élevés que ceux du régime public, l’urgence de compléter les travaux déjà bien avancés sur le plan fédéral nous semble intacte, surtout en pleine pandémie mondiale. L’accès de la population aux médicaments nécessaires est plus importante que jamais!  

Un investissement fédéral sans partage 

Il est par contre décevant de ne pas avoir entendu d’engagement ferme de la part du gouvernement pour hausser les transferts fédéraux en matière de santé aux provinces. La contribution fédérale au système de santé du Québec couvre actuellement 21 % des dépenses totales, bien en deçà des besoins. Il semble important que ce soit fait – surtout si les importantes annonces du Discours du Trône en matière de santé veulent avoir une chance de se concrétiser dans les différentes provinces :  soutien aux femmes proches aidantes, soutien dans les Centre de soins de longue durée y compris des changements au Code criminel pour sévir en cas d’abus, amélioration des conditions de travail des personnes préposées (en oubliant les autres professionnels), des conditions de vie des ainé.e.s, des personnes en situation de handicap, des personnes vulnérables ou itinérantes, sans oublier la lutte à l’usage d’opioïdes et le soutien accru à la santé mentale. 

La Coalition solidarité santé demeure attentive à la suite des choses et particulièrement, à l’adoption des crédits budgétaires prochaine. Avec ses alliés, elle espère que le droit à la santé demeure la priorité de ce gouvernement, même si la deuxième vague prend place et commande de grandes dépenses. 

À propos de la Coalition solidarité santé

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Renseignements : Benoit Racette, coordonnateur de la Coalition solidarité santé , Tél : 514 442-0577

Aussi disponible pour entrevues : Elisabeth Gibeau, porte-parole sur l’assurance-médicaments, Union des consommateurs 

Assurance médicaments Communiqués

Communiqué

Montréal, le 18 juin 2020 –  Un article publié ce matin dans La Presse révèle que le plan “vert” du gouvernement du Québec ratera sa propre cible de réduction de 37,5 % d’ici 2030, une cible qui demeure en-deçà des exigences fixées par la science. Plusieurs groupes environnementaux et sociaux s’unissent pour exprimer leur inquiétude et exiger un plan d’action économique vert, juste, crédible et rigoureux, à la hauteur du défi climatique. 

Selon les groupes, le gouvernement Legault a le devoir d’être pragmatique et de faire la démonstration claire et concrète des actions qu’il entend prendre, dans chaque secteur d’activités économiques du Québec.  Son plan doit engager chaque ministère et mobiliser l’ensemble de la société québécoise dans un virage vers une transition juste et verte, soutenue et coordonnée par le gouvernement. Des objectifs précis et des indicateurs de performances rigoureux devront accompagner ce plan pour mesurer l’efficacité des actions.

Depuis plusieurs semaines, les appels de la société civile se multiplient pour demander une relance économique verte et juste. Du milieu économique aux groupes environnementaux, en passant par les grandes centrales syndicales, les groupes communautaires, le secteur de la santé et les groupes citoyens, tous voient en ces plans de relance économique une opportunité sans précédent pour mettre en oeuvre des solutions qui nous permettront également de répondre à l’autre crise: la crise climatique. 

Certains, comme le Pacte pour la transition, ont proposé les bases d’un plan d’action pour une transition verte et juste, le Groupe des 15 a aussi amené son lot de solutions et d’autres sont en cours d’élaboration dont Québec ZEN, du Front commun pour la transition énergétique. Il existe une incroyable expertise québécoise concernant les solutions à mettre en place. Le gouvernement a le devoir d’élaborer son plan en consultant les différents acteurs de la société civile dans un esprit de concertation et dialogue social, pour passer à l’action.  

La volonté populaire s’est clairement exprimée à travers un sondage publié la semaine passée et qui révélait que 83% des Québécois.es veulent que le gouvernement en fasse autant ou plus pour lutter contre les changements climatiques et pour protéger l’environnement. Aussi, 72% considèrent qu’il y a urgence d’agir pour lutter contre les changements climatiques et protéger l’environnement. Notre gouvernement a un fort appui pour agir avec ambition face à la crise climatique. Il peut s’appuyer sur ce large consensus pour mettre en oeuvre les meilleures pratiques vers une économie viable.

Malheureusement, les signes envoyés par le gouvernement ces dernières semaines vont souvent à contre-courant des gestes que nous devrions poser. Constatant l’absence du ministre de l’Environnement dans le comité de relance économique, et suite au dépôt du très controversé projet de loi 61, on ne peut qu’être inquiet face au manque de vision et d’ambition de notre gouvernement qui n’arrive visiblement pas à passer de la parole aux actes.

Les solutions sont là. La volonté est claire. La balle est dans le camp du gouvernement.

Note:

Les groupes rappellent que la cible actuelle du gouvernement, qui prévoit une réduction des émissions de GES de 37,5% d’ici 2030, est très en deçà de ce que la science préconise. La science exige une réduction des émissions mondiales de CO2 de l’ordre de 50% d’ici 2030 si l’on souhaite limiter le réchauffement global à 1,5°C comme le prévoit l’Accord de Paris. La cible actuelle du Québec doit donc être revue pour être plus ambitieuse et correspondre aux exigences de la science. 

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Signataires:

  • Le Pacte pour la transition
  • Greenpeace Canada
  • Fédération autonome de l’enseignement (FAE)
  • ENvironnement JEUnesse (ENJEU)
  • Mouvement écocitoyen UNEplanète
  • La Planète s’invite au Parlement
  • Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles
  • Mères au front
  • Front d’action populaire en réaménagement urbain
  • Action Climat Outaouais (ACO)
  • Action Environnement Basses-Laurentides (AEBL)
  • Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ)
  • Coalition solidarité santé
  • Groupe de recommandations et d’actions pour un meilleur environnement (GRAME)
  • Pastorale sociale – Église catholique à Montréal
  • Nature Québec
  • Comité des Citoyens et Citoyennes pour la Protection de l’Environnement Maskoutain
  • Le Projet de la réalité climatique Canada
  • Fondation David Suzuki

Changements climatiques Communiqués

Communiqué – Pour diffusion immédiate

Montréal, le 10 juin 2020 – Dans une lettre ouverte envoyée au gouvernement du Québec, la Coalition solidarité santé s’allie à plus de 85 organisations de la société civile pour réclamer des états généraux en santé et services sociaux. « La pandémie de COVID-19 a révélé des lacunes majeures dans notre système de santé et de services sociaux, qui sont le résultat des réformes et des choix politiques des dernières décennies. Si on veut être en mesure de faire face aux prochaines crises sanitaires, il est urgent de revoir notre système en profondeur, et il est essentiel que cette révision passe par un processus démocratique », déclare Anne Plourde, coordonnatrice de la Coalition.

La Coalition solidarité santé considère que le désastre humanitaire provoqué par la pandémie, en particulier dans les centres d’hébergement pour personnes âgées, a été en partie causé par les assauts répétés contre notre système public de santé et de services sociaux, qui en est ressorti affaibli et dépourvu des moyens nécessaires pour faire face à une crise d’une telle ampleur. « On sait que des crises sanitaires aussi graves surviendront dans les prochaines années. Ces crises pourraient être provoquées par d’autres pandémies, mais aussi par les bouleversements climatiques, que l’Organisation mondiale de la santé considère comme la plus grande menace à la santé humaine au XXIe siècle. Il faut absolument qu’on se dote collectivement d’un système public résilient et capable de faire face à ce genre de catastrophe », insiste Madame Plourde.

Pour la Coalition, un des résultats des réformes successives en santé et services sociaux a été de faire taire la voix des citoyen.ne.s ainsi que celle des travailleuses et des travailleurs du réseau en les écartant des lieux décisionnels, en abolissant les instances démocratiques où ils et elles siégeaient et en misant sur une gestion centralisée, bureaucratique et autoritaire, déconnectée du terrain. La pandémie a montré à quel point les conséquences de cette avenue peuvent être tragiques. « Durant la pandémie et durant les années qui l’ont précédée, on a imposé la loi du silence dans le réseau et on a refusé d’écouter les usagères et les usagers et les travailleuses et les travailleurs qui dénonçaient les problèmes graves qu’ils et elles constataient sur le terrain. Ce qu’on réclame aujourd’hui, c’est que les personnes qui sont les principales intéressées soient écoutées dans le processus de reconstruction du réseau qu’on va devoir amorcer », affirme la coordonnatrice de la Coalition.

Des états généraux sont une étape incontournable pour que cette reconstruction soit pensée et réalisée démocratiquement, avec la participation active des citoyen.ne.s et des travailleuses et des travailleurs du réseau. « Nous avons affronté une crise sanitaire majeure avec un réseau qui était lui-même en crise. Si ce drame nous a appris une chose, c’est que l’après-COVID en santé et services sociaux ne doit pas être décidé derrière des portes closes », conclut Madame Plourde.

À propos de la Coalition solidarité santé

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Source : Coalition solidarité santé

Renseignements : Anne Plourde, coordonnatrice de la Coalition solidarité santé. Tél : 514 442-0577

Communiqués Démocratie