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Montréal, le mardi 10 novembre 2020 − C’est avec une grande fierté que le Front commun pour la transition énergétique lance aujourd’hui la version 2.0 de sa Feuille de route pour la transition du Québec vers la carboneutralité. Le Front commun pour la transition énergétique regroupe près de 90 organismes citoyens, environnementaux, syndicaux, communautaires et étudiants représentant plus de 1,8 million de personnes, soit plus de 2 Québécois.es sur 10 et près de la moitié de la population active du Québec. 

Une « contribution incontournable » de la société civile  

L’ouvrage de 124 pages publié aujourd’hui se présente comme une « contribution incontournable » de la société civile à la réflexion sur la prise en charge collective de la crise climatique. Combinant les critères du Front commun pour une transition énergétique porteuse de justice sociale et les connaissances les plus à jour sur le climat et la transition, il propose une approche cohérente et transformationnelle ainsi qu’une responsabilisation des acteurs à toutes les échelles − gouvernementale, organisationnelle et citoyenne. Résultant des travaux de plus de 190 personnes appartenant à 85 organisations différentes et à une vingtaine de départements, chaires de recherches ou facultés d’une douzaine d’universités, il a aussi accueilli des perspectives autochtones.  

Phase 1 du projet Québec ZéN 

La coconstruction de la Feuille de route, à partir d’un document de travail publié en septembre 2019 (la version 1.0), est la première étape d’un important projet de dialogue social intitulé « Québec ZéN » (zéro émission nette). Les consensus que l’exercice a permis d’établir serviront d’ancrage à la phase 2, « Collectivités ZéN », qui vise à encourager une multiplication des démarches de transition juste vers la carboneutralité dans les diverses régions du Québec. Au cours des prochains mois, le Front commun pour la transition énergétique accompagnera plusieurs organismes qui souhaitent rallier les acteurs-clés de tous les secteurs présents dans leurs milieux respectifs autour d’un projet de Collectivité ZéN. 

Citations :  

« Nous, les jeunes, serons frappés de plein fouet par la crise climatique et jusqu’à maintenant, on ne nous a proposé que des mesures à la pièce, contradictoires, sans stratégie globale assez radicale pour nous éviter le pire. Nous avons le droit de rêver mieux et cette Feuille de route nous en donne l’occasion. Réapproprions-nous l’espoir d’un futur viable. » 

Rosalie Thibault, Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES)

« Face à l’urgence climatique, ce sont les virages que nous prenons aujourd’hui qui feront la différence. Tout va se jouer dans la décennie 2020 et il faut impérativement atteindre la carboneutralité le plus tôt possible. La Feuille de route est une contribution incontournable de la société civile en ce sens. » 

Jean-François Boisvert, Coalition climat Montréal 

« Les travailleuses et les travailleurs des services publics mettent l’épaule à la roue depuis longtemps déjà pour construire un monde plus écologique, solidaire, pacifique et démocratique. Nous sommes à la croisée des chemins. La Feuille de route vers la carboneutralité du Québec arrive donc à un moment crucial pour guider nos actions en matière de transition juste afin d’en décupler l’impact positif pour l’environnement et la société. »  

Anne Dionne, Centrale des syndicats du Québec (CSQ) 

« Avec cette vision collective et ces critères clairs, nous sommes bien outillés pour identifier des actions structurantes qui ne laissent personne derrière et qui construisent un monde plus juste. Nous devons faire preuve d’audace et d’ambition afin de laisser aux générations futures un monde viable. » 

Valérie Lépine, Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec  (MÉPACQ) 

« Bien qu’il reste du travail à faire avec des secteurs et communautés insuffisamment  entendues lors des processus menés, la richesse des perspectives croisées dans ce document est exceptionnelle. »  

Maude Prud’homme, Réseau québécois des groupes écologistes 

Consulter la Feuille de route 

Pour contribuer au projet Québec ZéN, vous pouvez faire un don ici

Si vous voulez vous tenir au courant des suites de ce projet, inscrivez-vous sur notre liste d’envoi ici.  

Changements climatiques Communiqués Non classé

Gov. Gen. Julie Payette and Prime Minister Justin Trudeau wait during the throne speech in the Senate chamber in Ottawa on Wednesday, Sept. 23, 2020. THE CANADIAN PRESS/Adrian Wyld

Communiqué de presse

Montréal, le 23 septembre – Le Discours du Trône du gouvernement canadien annonce de généreuses interventions contre la pandémie qui constitue sa priorité, le déploiement de nouveaux programmes en santé tout en réaffirmant la cible nationale de réduction des gaz à effet de serre en 2050. «Nous espérons que le gouvernement saura lier ce magnifique discours sur papier et des engagements financiers à la hauteur des promesses, lors des prochains crédits budgétaires», relativise le coordonnateur de la Coalition solidarité santé, Benoit Racette. 

Le projet d’assurance-médicaments toujours sur les rails 

C’est avec soulagement que nous prenons acte du fait que le gouvernement continue de croire en la pertinence d’un régime national d’assurance médicaments et veut “accélérer les étapes pour le mettre en place”. Nous offrons notre entière collaboration à cet effet. Un tel régime représente un investissement pour la population, une façon de contrôler les coûts et d’assurer un approvisionnement constant en médicaments, indépendamment de leur situation d’emploi. Rappelons que près de 10 % de la population québécoise n’a pas les moyens de payer ses médicaments et que c’est le double dans le reste du Canada … «Le régime permettra de renforcer la stratégie globale pour assurer un approvisionnement sécuritaire en contexte de pandémie, sans se mettre en position de dépendance vis-à-vis certaines compagnies pharmaceutiques, et sans mettre en péril les autres services essentiels de santé», soutient Elisabeth Gibeau, analyste pour Union des consommateurs. Alors que notre régime québécois ne cesse de démontrer son inefficacité, avec des régimes privés qui ont des coûts d’environ 30 % plus élevés que ceux du régime public, l’urgence de compléter les travaux déjà bien avancés sur le plan fédéral nous semble intacte, surtout en pleine pandémie mondiale. L’accès de la population aux médicaments nécessaires est plus importante que jamais!  

Un investissement fédéral sans partage 

Il est par contre décevant de ne pas avoir entendu d’engagement ferme de la part du gouvernement pour hausser les transferts fédéraux en matière de santé aux provinces. La contribution fédérale au système de santé du Québec couvre actuellement 21 % des dépenses totales, bien en deçà des besoins. Il semble important que ce soit fait – surtout si les importantes annonces du Discours du Trône en matière de santé veulent avoir une chance de se concrétiser dans les différentes provinces :  soutien aux femmes proches aidantes, soutien dans les Centre de soins de longue durée y compris des changements au Code criminel pour sévir en cas d’abus, amélioration des conditions de travail des personnes préposées (en oubliant les autres professionnels), des conditions de vie des ainé.e.s, des personnes en situation de handicap, des personnes vulnérables ou itinérantes, sans oublier la lutte à l’usage d’opioïdes et le soutien accru à la santé mentale. 

La Coalition solidarité santé demeure attentive à la suite des choses et particulièrement, à l’adoption des crédits budgétaires prochaine. Avec ses alliés, elle espère que le droit à la santé demeure la priorité de ce gouvernement, même si la deuxième vague prend place et commande de grandes dépenses. 

À propos de la Coalition solidarité santé

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Renseignements : Benoit Racette, coordonnateur de la Coalition solidarité santé , Tél : 514 442-0577

Aussi disponible pour entrevues : Elisabeth Gibeau, porte-parole sur l’assurance-médicaments, Union des consommateurs 

Assurance médicaments Communiqués

Communiqué

Montréal, le 18 juin 2020 –  Un article publié ce matin dans La Presse révèle que le plan “vert” du gouvernement du Québec ratera sa propre cible de réduction de 37,5 % d’ici 2030, une cible qui demeure en-deçà des exigences fixées par la science. Plusieurs groupes environnementaux et sociaux s’unissent pour exprimer leur inquiétude et exiger un plan d’action économique vert, juste, crédible et rigoureux, à la hauteur du défi climatique. 

Selon les groupes, le gouvernement Legault a le devoir d’être pragmatique et de faire la démonstration claire et concrète des actions qu’il entend prendre, dans chaque secteur d’activités économiques du Québec.  Son plan doit engager chaque ministère et mobiliser l’ensemble de la société québécoise dans un virage vers une transition juste et verte, soutenue et coordonnée par le gouvernement. Des objectifs précis et des indicateurs de performances rigoureux devront accompagner ce plan pour mesurer l’efficacité des actions.

Depuis plusieurs semaines, les appels de la société civile se multiplient pour demander une relance économique verte et juste. Du milieu économique aux groupes environnementaux, en passant par les grandes centrales syndicales, les groupes communautaires, le secteur de la santé et les groupes citoyens, tous voient en ces plans de relance économique une opportunité sans précédent pour mettre en oeuvre des solutions qui nous permettront également de répondre à l’autre crise: la crise climatique. 

Certains, comme le Pacte pour la transition, ont proposé les bases d’un plan d’action pour une transition verte et juste, le Groupe des 15 a aussi amené son lot de solutions et d’autres sont en cours d’élaboration dont Québec ZEN, du Front commun pour la transition énergétique. Il existe une incroyable expertise québécoise concernant les solutions à mettre en place. Le gouvernement a le devoir d’élaborer son plan en consultant les différents acteurs de la société civile dans un esprit de concertation et dialogue social, pour passer à l’action.  

La volonté populaire s’est clairement exprimée à travers un sondage publié la semaine passée et qui révélait que 83% des Québécois.es veulent que le gouvernement en fasse autant ou plus pour lutter contre les changements climatiques et pour protéger l’environnement. Aussi, 72% considèrent qu’il y a urgence d’agir pour lutter contre les changements climatiques et protéger l’environnement. Notre gouvernement a un fort appui pour agir avec ambition face à la crise climatique. Il peut s’appuyer sur ce large consensus pour mettre en oeuvre les meilleures pratiques vers une économie viable.

Malheureusement, les signes envoyés par le gouvernement ces dernières semaines vont souvent à contre-courant des gestes que nous devrions poser. Constatant l’absence du ministre de l’Environnement dans le comité de relance économique, et suite au dépôt du très controversé projet de loi 61, on ne peut qu’être inquiet face au manque de vision et d’ambition de notre gouvernement qui n’arrive visiblement pas à passer de la parole aux actes.

Les solutions sont là. La volonté est claire. La balle est dans le camp du gouvernement.

Note:

Les groupes rappellent que la cible actuelle du gouvernement, qui prévoit une réduction des émissions de GES de 37,5% d’ici 2030, est très en deçà de ce que la science préconise. La science exige une réduction des émissions mondiales de CO2 de l’ordre de 50% d’ici 2030 si l’on souhaite limiter le réchauffement global à 1,5°C comme le prévoit l’Accord de Paris. La cible actuelle du Québec doit donc être revue pour être plus ambitieuse et correspondre aux exigences de la science. 

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Signataires:

  • Le Pacte pour la transition
  • Greenpeace Canada
  • Fédération autonome de l’enseignement (FAE)
  • ENvironnement JEUnesse (ENJEU)
  • Mouvement écocitoyen UNEplanète
  • La Planète s’invite au Parlement
  • Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles
  • Mères au front
  • Front d’action populaire en réaménagement urbain
  • Action Climat Outaouais (ACO)
  • Action Environnement Basses-Laurentides (AEBL)
  • Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ)
  • Coalition solidarité santé
  • Groupe de recommandations et d’actions pour un meilleur environnement (GRAME)
  • Pastorale sociale – Église catholique à Montréal
  • Nature Québec
  • Comité des Citoyens et Citoyennes pour la Protection de l’Environnement Maskoutain
  • Le Projet de la réalité climatique Canada
  • Fondation David Suzuki

Changements climatiques Communiqués

Communiqué – Pour diffusion immédiate

Montréal, le 10 juin 2020 – Dans une lettre ouverte envoyée au gouvernement du Québec, la Coalition solidarité santé s’allie à plus de 85 organisations de la société civile pour réclamer des états généraux en santé et services sociaux. « La pandémie de COVID-19 a révélé des lacunes majeures dans notre système de santé et de services sociaux, qui sont le résultat des réformes et des choix politiques des dernières décennies. Si on veut être en mesure de faire face aux prochaines crises sanitaires, il est urgent de revoir notre système en profondeur, et il est essentiel que cette révision passe par un processus démocratique », déclare Anne Plourde, coordonnatrice de la Coalition.

La Coalition solidarité santé considère que le désastre humanitaire provoqué par la pandémie, en particulier dans les centres d’hébergement pour personnes âgées, a été en partie causé par les assauts répétés contre notre système public de santé et de services sociaux, qui en est ressorti affaibli et dépourvu des moyens nécessaires pour faire face à une crise d’une telle ampleur. « On sait que des crises sanitaires aussi graves surviendront dans les prochaines années. Ces crises pourraient être provoquées par d’autres pandémies, mais aussi par les bouleversements climatiques, que l’Organisation mondiale de la santé considère comme la plus grande menace à la santé humaine au XXIe siècle. Il faut absolument qu’on se dote collectivement d’un système public résilient et capable de faire face à ce genre de catastrophe », insiste Madame Plourde.

Pour la Coalition, un des résultats des réformes successives en santé et services sociaux a été de faire taire la voix des citoyen.ne.s ainsi que celle des travailleuses et des travailleurs du réseau en les écartant des lieux décisionnels, en abolissant les instances démocratiques où ils et elles siégeaient et en misant sur une gestion centralisée, bureaucratique et autoritaire, déconnectée du terrain. La pandémie a montré à quel point les conséquences de cette avenue peuvent être tragiques. « Durant la pandémie et durant les années qui l’ont précédée, on a imposé la loi du silence dans le réseau et on a refusé d’écouter les usagères et les usagers et les travailleuses et les travailleurs qui dénonçaient les problèmes graves qu’ils et elles constataient sur le terrain. Ce qu’on réclame aujourd’hui, c’est que les personnes qui sont les principales intéressées soient écoutées dans le processus de reconstruction du réseau qu’on va devoir amorcer », affirme la coordonnatrice de la Coalition.

Des états généraux sont une étape incontournable pour que cette reconstruction soit pensée et réalisée démocratiquement, avec la participation active des citoyen.ne.s et des travailleuses et des travailleurs du réseau. « Nous avons affronté une crise sanitaire majeure avec un réseau qui était lui-même en crise. Si ce drame nous a appris une chose, c’est que l’après-COVID en santé et services sociaux ne doit pas être décidé derrière des portes closes », conclut Madame Plourde.

À propos de la Coalition solidarité santé

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Source : Coalition solidarité santé

Renseignements : Anne Plourde, coordonnatrice de la Coalition solidarité santé. Tél : 514 442-0577

Communiqués Démocratie

Communiqué – Pour diffusion immédiate

Ottawa, le 24 mars 2020 – Un regroupement d’organisations de protection de l’environnement,  du milieu de la santé, de groupes confessionnels et de justice sociale, de groupes citoyens et de syndicats représentant au total plus d’un million de personnes, ont envoyé une lettre au Premier Ministre Trudeau et à son cabinet les exhortant à ce que leur plan de relance économique ne donne pas plus d’argent aux compagnies pétrolières et gazières, mais le donne plutôt aux travailleur.ses. 

« Le secteur pétro-gazier compte profiter de l’attention détournée des Canadiens qui sont trop occupés à gérer la crise de santé publique actuelle pour se rendre compte que le pays considère un transfert massif de fonds publics qui va soutenir la même industrie qui se cache derrière la prochaine crise sanitaire. Nous sommes à un point de bascule crucial et les changements climatiques doivent être intégrés dans tous les processus de décision. Les politiques que nous mettons en vigueur aujourd’hui doivent bénéficier à tous les Canadien.nes et mettre la table pour que nous puissions avoir confiance dans la phase post-coronavirus. » explique la Dr. Courtney Howard, Présidente du Conseil d’administration de la Canadian Association of Physicians for the Environment (CAPE).

La lettre stipule: 

Avec ce plan de relance, le gouvernement fédéral a la possibilité de soutenir immédiatement et directement les travailleurs et travailleuses de l’Alberta et de tout le pays, tout en investissant dans ce qui est nécessaire pour soutenir et faire croître une économie sobre en carbone et le type d’économie qui peut affronter les tempêtes.

Le gouvernement fédéral ne devrait pas renflouer les sociétés pétrolières et gazières à l’aide d’achats d’actions ou de garanties de prêts, ont déclaré des groupes.

« Les gouvernements doivent prioriser les Canadien.nes, et investir dans leurs poches et non pas dans celles des sociétés pétrolières. Il ne faut pas offrir un autre paquet de plusieurs milliards aux compagnies qui sont déjà largement subventionnées. Le gouvernement devrait se concentrer sur la santé et la résilience des travailleu.ses et de leurs familles dans l’immédiat et sur le long-terme ainsi que tous ceux qui sont impactés dans le pays et qui ont besoin de cet argent alors que nous vivons une réalité inédite » explique Julia Levin, responsable du programme Climat-Énergie chez Environmental Defence Canada.

Les groupes ont demandé au gouvernement d’inclure dans son plan de relance économique pour l’industrie pétrolière et gazière trois mesures critiques dont un fond indépendant pour les puits orphelins qui soit géré par des représentants autochtones, des autorités locales et des propriétaires fonciers. Ces dernier s’assureront que l’argent sera utilisé dans les situations où  les compagnies auront déjà épuisé leur finance et leurs biens à nettoyer leurs puits.

Les groupes ont également souligné que le gouvernement fédéral s’était engagé à adopter une Loi sur la Transition Juste et qu’il devrait par conséquent mettre en place un programme de relance avec des mesures pour accélérer cette transition et protéger les travailleurs et travailleuses alors que la production continuera à décliner au cours des prochaines années.

« Le meilleur moment pour soutenir financièrement, investir, former et instruire les travailleu.ses du secteur est maintenant. Le gouvernement a la chance d’offrir les emplois stables et d’aider les travailleur.ses à prendre le virage de la transition vers l’avenir » explique Steve Moran, le Coordonnateur national de Green Economy Network, qui représente nombreuses organisations incluant des syndicats.

« Tous les travailleurs, incluant ceux de l’industrie pétrolière méritent d’être soutenus par le gouvernement. Le krach des prix du pétrole est un signe avant-coureur de ce qui arrivera lorsque que le monde se libérera des combustibles fossiles en réponse à la crise climatique et tout soutien aux travailleurs doit tenir compte de cette réalité. Plutôt que de donner des milliards de plus aux pétrolières, le gouvernement devrait offrir de la formation et un revenu de soutien directement aux travailleurs, assurer une gestion indépendante du programme de nettoyage des puits de pétrole (orphelins) et investir dans un avenir énergétique propre et viable. », a déclaré Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie à Greenpeace Canada.

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