Coalition solidarité santé Posts

La définition de la santé portée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et endossée par la Coalition: «la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie», constitue une vision globale de la santé. Le gouvernement doit porter ce regard à la fois sur les déterminants de la santé et sur le système québécois de santé et des services sociaux.

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Depuis 25 ans, le secteur de la santé qui a connu la croissance la plus importante est celui DES MÉDICAMENTS. À l’échelle du pays, les médicaments représentent le cinquième des budgets de la santé de 2009 alors qu’en 1985, ils n’en constituaient que le dixième.

Analyse, chronique et lettre ouverte Assurance médicaments

Depuis de nombreuses années, le Québec est en queue de peloton quant au FINANCEMENT DE SON SYSTÈME DE SANTÉ ET SERVICES SOCIAUX. Avec un montant annuel de 5 096$ par habitant, il est la province qui consacre la plus petite part de son budget à la santé, soit 33,1%. En comparaison, la moyenne canadienne des dépenses par habitant se situe à 5 614$ par habitant (6 266$ en Alberta) et le pourcentage moyen du budget consacré à la santé est de 39,2%.

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Pour nous, comme pour d’autres, le projet de loi 25 est un projet de loi issu de nulle part et qui ne mènera nulle part puisqu’il fait table rase des acquis du système québécois pour leur substituer des solutions préfabriquées dans des officines ministérielles. Il met de l’avant des solutions pour le moins controversées et il ignore les larges consensus sociaux.
 

Documents Mémoires

La Coalition Solidarité Santé s’insurge contre le discours selon lequel nous n’aurions plus au Québec les moyens de la solidarité sociale et les moyens de préserver l’intégralité du système de santé et de services sociaux au Québec. Pour nous, ce n’est pas une question de moyens mais bien une question de choix.
 
Dans tous les sondages, la population exprime le même point de vue : elle préfère renoncer aux baisses d’impôts que de renoncer aux services publics, notamment ceux en santé et en éducation.

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