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La Coalition Solidarité Santé est très inquiète du manque de vision du gouvernement Charest quant à l’avenir des services de santé et des services sociaux. Dans son énoncé financier d’aujourd’hui, le ministre Raymond Bachand avoue que les dépenses en santé dépasseront les 40 milliards $ dans quelques années… mais que la contribution santé – régressive et inéquitable – pourra faire face à la situation.

Communiqués

La Coalition Solidarité Santé souligne aujourd’hui ses 20 ans d’existence ! Dans le cadre d’un événement conférence à la fois festif et réflexif, la Coalition rend publiques une version réactualisée de son manifeste pour la sauvegarde du système public de santé et de services sociaux, de même qu’une 3e capsule vidéo traitant de la privatisation croissante de nos soins et services.

Communiqués Services publics

Au moment de voter l’ensemble des crédits budgétaires à l’Assemblée nationale, la Coalition Solidarité Santé aurait souhaité que le gouvernement fasse marche arrière concernant la contribution santé. Au lieu d’imposer une telle taxe régressive et inéquitable, le gouvernement aurait pu faire le choix d’aller récupérer les mêmes sommes en cherchant à mieux contrôler le coût des médicaments.

Communiqués Taxe santé

Une des grandes inquiétudes de la Coalition Solidarité Santé s’est avérée fondée : « En instaurant la contribution santé, le gouvernement implante une forme de tarification liée au système de santé, intention annoncée dans le précédent budget », déclare Monica Dunn, porte-parole de la Coalition. En effet, cette mesure fiscale régressive est problématique et inéquitable puisque la contribution se fait sans égard au revenu.

Communiqués Financement Services publics

Présente devant la Conférence de Montréal en ce cinquième anniversaire du jugement de la Cour suprême du Canada dans l’affaire Chaoulli, la Coalition Solidarité Santé clame haut et fort son opposition à la privatisation et à la marchandisation des soins de santé et des services sociaux.     « La réponse du gouvernement au jugement Chaoulli aurait pu être une excellente occasion de renforcir un système public de santé.

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