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Série de vignettes informatives

Découvrez notre série de vignettes servant à répondre au tape-à-l’œil des soi-disant bienfaits d’un système de santé et de services sociaux qui laisse place au secteur privé à buts lucratifs dans son offre de services couverts.

Malgré toute l’information que l’on a maintenant, plusieurs continuent de croire dans les mythes proposés par nos vignettes. Au fils des semaines, nous vous inviterons à vous informer au-delà de vos croyances et vous questionner au-delà des apparences.

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Que nous promettent les principaux partis politiques en lice? Quels sont les enjeux reliés à l’élection générale de 2018 au Québec? Dans le cadre de ces élections générales qui auront lieu le 1er octobre 2018, la Coalition solidarité santé a adressé le 21 mai aux quatre principaux partis politiques en lice une question: 

  

“Comptez-vous instaurer un régime entièrement public d’assurance médicaments dans la province,

si votre parti est élu en octobre 2018 ?”

 

Nous les avons avisés que nous publierions leur réponse.  Vous les trouverez ci-dessous, sur cette page… dans la mesure où ils nous auront répondu.

 

Voici maintenant un rappel de nos positions concernant la santé, le système public de services sociaux et de soins de santé, ainsi que des positions que nous avons prises tout au coure du mandat de quatre ans du gouvernement libéral de Philippe Couillard (dans l’ordre chronologique croissant).

 

 

 

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«Grâce à votre appui, la spirale des déficits, c’est terminé. La cote de crédit en danger, c’est terminé. Au Québec, on a fini de payer l’épicerie en empruntant à nos enfants. On ne dépense pas plus que ce qu’on gagne.[…] Cette rigueur que nous avons eue, cette rigueur qui nous a été reprochée, tous admettent maintenant qu’elle a été payante pour le Québec et pour les Québécois. Nous nous sommes battus avec détermination contre les forces du statu quo qui nous menaient à la catastrophe. Et nous avons gagné. »

DISCOURS D’OUVERTURE DU PREMIER MINISTRE DU QUÉBEC LORS DU 33IEME CONGRES DU PLQ,

24 NOVEMBRE 2017.

 

Cette affirmation du premier ministre Couillard devant les membres de son parti en novembre 2017 semble si véridique qu’elle a assurément renforcé la croyance que le gouvernement n’avait d’autre choix.

Quatre mois plus tard, le budget Leitao aurait dû témoigner de la véracité de cette affirmation. 

Pourtant, ce que montre le Plan économique 2018-2019, c’est plutôt que toutes les cotes de crédit du Québec ont été stables depuis plus de dix ans, et qu’une seule agence de notation, Standard & Poor’s (S&P), a révisé à la hausse la cote de crédit du Québec en juin 2017, la faisant passer de « A+ » à « AA− ». 

Alors, la cote de crédit en danger ? Les forces du statu quo qui menaient à la catastrophe ?

“Et nous avons gagné”?…

 

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RÉMUNÉRATION DES MÉDECINS

Fonds de recherche Société et Culture Québec

Rapport de recherche

Analyse des impacts de la rémunération des médecins sur leur pratique et la performance du système de santé au Québec,

Chercheur principal

Damien Contandriopoulos, Université de Montréal, et Astrid Brousselle, Université de Sherbrooke

Mars 2018.

L’objectif principal du présent projet de recherche est de comprendre de quelle manière et dans quelle mesure les modes de rémunération influencent la pratique médicale et de cerner l’impact de ces facteurs sur la performance du système de santé du Québec.

Résumé

Rapport de recherches et annexes

Appel de propositions

Brève revue de presse::


RÉMUNÉRATION DES MÉDECINS: DANS LES DÉTAILS DE LA MACHINE – Le modèle de «paiement à l’acte» est à la source de nombreuses dysfonctions du système de santé. Il a grand besoin d’être révisé, plaide un groupe de recherche. La façon dont on paie les médecins au Québec est un pur produit historique de relations de pouvoir, hérité de la figure du médecin de famille du XVIIIe siècle, qui arrivait chez les gens avec sa mallette et son bistouri, faisait ce qu’il pouvait et repartait après que les gens eurent payé pour sa visite. C’est ce modèle de paiement à l’acte qui a été conservé, en partie du fait des fédérations médicales qui — à la mise en place du premier système de santé public canadien, en 1947 — ont exercé de fortes pressions pour qu’il en soit ainsi. Depuis, le modèle s’est maintenu, en se complexifiant au fil des ans. Il semble aujourd’hui inébranlable, alors qu’aucune preuve scientifique fiable ne vient en soutenir les mérites.

MIEUX TRAITER LES MÉDECINS NE PROFITE PAS AUX PATIENTS– En doublant l’enveloppe de rémunération des médecins en dix ans, le Québec n’a récolté qu’une stagnation, voire une diminution des soins, conclut une étude très attendue sur le sujet rendue publique aujourd’hui.

MIEUX PAYÉS, LES MÉDECINS TRAVAILLENT MOINS – Jamais le Québec n’a eu autant de médecins par habitant qu’aujourd’hui et jamais ceux-ci n’ont été aussi bien payés. Et pourtant, pendant que leur rémunération augmentait entre 2006 et 2015, la moyenne de jours travaillés par année diminuait. Si on croyait que l’augmentation de la rémunération des médecins québécois allait assurer un meilleur accès aux soins, c’est raté.

DES MÉDECINS PLUS RICHES ET MOINS PRODUCTIFS, SELON UNE ÉTUDE – Les milliards dépensés pour augmenter la rémunération des médecins au Québec depuis 10 ans ont été accompagnés d’une baisse de la production de soins, révèle une importante étude indépendante réalisée à la demande du Commissaire à la santé et au bien-être (CSBE), dont les résultats finaux sont rendus publics ce matin.

LE PAIEMENT DES MÉDECINS À L’ACTE A DES EFFETS PERVERS, CONCLUT UNE ÉTUDE – Pratiques de facturation « créatives », culture du secret, multiplication d’actes payants au détriment, parfois, de la qualité des soins : le système de rémunération à l’acte des médecins entraîne son lot d’« effets pervers », conclut une grande étude sur la rémunération des médecins entre 2006 et 2015.

BARRETTE DOUTAIT DE LA PERTINENCE DE L’ÉTUDE – Pour s’assurer que les résultats de l’étude sur les modes de rémunération médicale seront un jour rendus publics, l’ancien commissaire à la santé et au bien-être (CSBE) Robert Salois a dû les protéger de toute ingérence, a-t-il raconté dans une entrevue au Devoir vendredi dernier.

PRODUCTIVITÉ DES MÉDECINS: DES CORRECTIFS ONT ÉTÉ APPORTÉS, INSISTE COUILLARD – La productivité des médecins est toujours un enjeu au Québec, a convenu le premier ministre Philippe Couillard, commentant l’étude commandée par le Commissaire à la santé et au bien-être, publiée par La Presse mercredi.

LES MÉDECINS S’EN PRENNENT À UN CHERCHEUR QUI ÉTUDIE LEUR MODE DE RÉMUNÉRATION – Dans des lettres adressées au Commissaire à la santé et au bien-être (CSBE), la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) et celle des médecins omnipraticiens (FMOQ) s’en prennent à la crédibilité du chercheur de l’Université de Montréal Damien Contandriopoulos, estimant qu’il n’a pas le recul nécessaire pour mener des travaux sur la rémunération des médecins. Ayant pris soin de mettre en copie le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, et le pdg de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ), Jacques Cotton, la FMSQ va ni plus ni moins jusqu’à «exiger» que le chercheur soit écarté de ces travaux.

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